Chroniques d'un jeune Iop
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Chroniques d'un jeune Iop
Deux heures du matin.
Un Iop se réveille paisiblement au beau milieu des broussailles entourant la pauvre cité que l’on nomme Astrub. Il regarde la voute étoilée et on devine à son regard qu’il se demande encore s’il sera seul cette nuit. Il se lève et enfile sa bonne vielle armure en peau de crocodaille qui lui a apportée son soutient en de nombreux combats périlleux
- Allez viens ma petite Pouloute on dirait que tu as faim... comme d’habitude. Et bien dans ce cas je te propose pour entrée une succulente assiette de foie gras de boufton blanc et noir sur lit de salade verte, suivi d’une bonne soupe au bouillon de bouftou, rien de mieux pour nous réchauffer. Pour le plat principa, un somptueux ragoût de chef de guerre bouftou assaisonné avec le meilleur poivre des bworks, et je t’ai gardé le meilleur pour la fin, un gâteau triple chocolat avec coulis aux fruits et au Bouftou Royal. Qu’en dis-tu?
Le jeune mouton esquisse un semblant de sourire.
Après une courte promenade en fôret le valeureux combattant arrive à destination sans trop d’embuche, mis à part ce foutu cailloux dans sa botte qui lui a fait dire quelques jurons iopiques digne de la réputation incontestée d’un Iop colérique.
- Veuillez me présenter votre clé s’il-vous-plaît
- Ma clé? Tiens prend-la, la voila
Kayexi jette sa clé au pied de l’être étrange et entre dans l’entre des bouftous, un endroit qu’il ne connait que trop bien. À peine entré, voila qu’il tombe sur des hordes incessantes de jeunes bouftons noirs et blancs accompagnés par une trentaine de bouftous et une poignée de chef de guerre. Après quelques coups d’épée par ci et par là les survivants s’enfuient le plus rapidement que leur permet leurs petites pattes.
Le vainqueur entreprend de fouiller les cadavres afin de récupérer quelques ressources qu’il pourra aisément revendre lors de son prochain passage dans la grande cité de Bonta. Au moment ou il se penche pour retirer les cornes du dernier bouftou un bruit retentit non loin de lui. Sans même avoir à se retourner il reconnait l’odeur de l’haleine fétide du Bouftou royal. Kayexi se relève lentement , crache sur le sol jonché de cadavres puants, essuie d’un mouvement non-chalant le sang encore chaud sur son armure avec le revers de sa main gauche, tire son épée de son fourreau et fonce à toute allure en hurlant son cri de guerre le plus menacant vers ce gigantesque bouftou couronné pour livré un combat sanglant dont seul lui connait le secret...
Un Iop se réveille paisiblement au beau milieu des broussailles entourant la pauvre cité que l’on nomme Astrub. Il regarde la voute étoilée et on devine à son regard qu’il se demande encore s’il sera seul cette nuit. Il se lève et enfile sa bonne vielle armure en peau de crocodaille qui lui a apportée son soutient en de nombreux combats périlleux
- Allez viens ma petite Pouloute on dirait que tu as faim... comme d’habitude. Et bien dans ce cas je te propose pour entrée une succulente assiette de foie gras de boufton blanc et noir sur lit de salade verte, suivi d’une bonne soupe au bouillon de bouftou, rien de mieux pour nous réchauffer. Pour le plat principa, un somptueux ragoût de chef de guerre bouftou assaisonné avec le meilleur poivre des bworks, et je t’ai gardé le meilleur pour la fin, un gâteau triple chocolat avec coulis aux fruits et au Bouftou Royal. Qu’en dis-tu?
Le jeune mouton esquisse un semblant de sourire.
Après une courte promenade en fôret le valeureux combattant arrive à destination sans trop d’embuche, mis à part ce foutu cailloux dans sa botte qui lui a fait dire quelques jurons iopiques digne de la réputation incontestée d’un Iop colérique.
- Veuillez me présenter votre clé s’il-vous-plaît
- Ma clé? Tiens prend-la, la voila
Kayexi jette sa clé au pied de l’être étrange et entre dans l’entre des bouftous, un endroit qu’il ne connait que trop bien. À peine entré, voila qu’il tombe sur des hordes incessantes de jeunes bouftons noirs et blancs accompagnés par une trentaine de bouftous et une poignée de chef de guerre. Après quelques coups d’épée par ci et par là les survivants s’enfuient le plus rapidement que leur permet leurs petites pattes.
Le vainqueur entreprend de fouiller les cadavres afin de récupérer quelques ressources qu’il pourra aisément revendre lors de son prochain passage dans la grande cité de Bonta. Au moment ou il se penche pour retirer les cornes du dernier bouftou un bruit retentit non loin de lui. Sans même avoir à se retourner il reconnait l’odeur de l’haleine fétide du Bouftou royal. Kayexi se relève lentement , crache sur le sol jonché de cadavres puants, essuie d’un mouvement non-chalant le sang encore chaud sur son armure avec le revers de sa main gauche, tire son épée de son fourreau et fonce à toute allure en hurlant son cri de guerre le plus menacant vers ce gigantesque bouftou couronné pour livré un combat sanglant dont seul lui connait le secret...
kayexi- Elfe
- Nombre de messages : 197
Date d'inscription : 07/04/2009
Feuille de personnage
Classe: Iop
Level: 109
Re: Chroniques d'un jeune Iop
Deux heures du matin.
Un Iop se réveille en surssaut après une nuit mouvementée. Il demeure quelques minute à contempler les étoiles comme à son habitude, mais cette fois c’est différent. Il cherche des réponse à cette fastidieuse question.
- Encore un goût amer se prélasse dans ma bouche. Cette nuit fut moins tourmentée que les précédentes, mais j’ai encore ce souvenir fugace qui hante mon esprit rebel. Il n’y aura donc aucun moyen d’oublier cela. Je crois bien qu’il faudra s’y faire.
Kayexi demeure encore quelques minutes ainsi avant de se lever d’un bond. Il entreprend de ramasser son équipement posé sur le sol à ses cotés.
- Hey salut toi!
Le Iop fit un mouvement brusque et de par le fait même échappa son équipement sur le sol encore humide de rosée nocturne. Il se retourna lentement et essaya de voir le visage caché derrière ce masque de tissus. Il reconnut son amie après quelques seconde de dure réflexion matinale.
- Bon matin Sadako... ou bonne nuit... bref bon ce qui te plairas.
- Mgggghhh, erghhgsdmm
- Tu as pas l’air bien Sada... tu es sur que ca va?
- Oui oui, c’est simplement que je n’arrive pas à trouver le réconfort dens les abîmes du merveilleux monde des rêves. Alors ne m’en veut pas si je suis un peu d’humeur bizzare.
En disant cela, elle se pencha pour aider le Iop à ramasser pour la seconde fois son équipement. Une fois cette tâche fastidieuse accomplies, ils se relevèrent et entreprirent de raconter leurs mésaventures, car cela faisait quelques jours qu’ils ne s’étaient pas croisé. Quelques minutes passèrent, suivi de peu par les heures.
Le soleil daignait enfin venir réchauffer la cîme des haut frêne de la région. Sadako se rendit alors compte qu’elle commencait à avoir un léger retard sur son horraire prévue. La disciple de Sram se leva d’un bond, ce qui fit tomber le pain aux 10 céréales que tenait Kayexi à la main.
- Désolé, j’ai du retard. On m’attend. Une quête importante.
- Besoin d’une épée de plus dans vos rang?
- Je ne crois pas que ta lame, aussi affutée soit-elle, puisse être d’une utilité quelquonque, mais merci de l’offre, je m’en souviendrai. On se reverra.
Sur ces mots, elle disparue aussi subitement qu’elle était apparue.
- Au revoir...
Le jeune combattant demeura là, sans expression apparante, à contempler la nature sauvage. Il se rassit dans l’herbe froide et fouilla son équipement à la recherche d’un objet en particulier. Une fois l’amulette entre ses mains, il s’adossa à un arbre.
- Je ne t’oublirai pas non plus ma très chère Sada.
Il replaca soigneusement l’amulette, qui fue confectionnée par le Chef Bwork en personne, parmi ses autres babioles et replongea dans ses pensées houleuses, le regard vide, à la recherche de réponses...
Un Iop se réveille en surssaut après une nuit mouvementée. Il demeure quelques minute à contempler les étoiles comme à son habitude, mais cette fois c’est différent. Il cherche des réponse à cette fastidieuse question.
- Encore un goût amer se prélasse dans ma bouche. Cette nuit fut moins tourmentée que les précédentes, mais j’ai encore ce souvenir fugace qui hante mon esprit rebel. Il n’y aura donc aucun moyen d’oublier cela. Je crois bien qu’il faudra s’y faire.
Kayexi demeure encore quelques minutes ainsi avant de se lever d’un bond. Il entreprend de ramasser son équipement posé sur le sol à ses cotés.
- Hey salut toi!
Le Iop fit un mouvement brusque et de par le fait même échappa son équipement sur le sol encore humide de rosée nocturne. Il se retourna lentement et essaya de voir le visage caché derrière ce masque de tissus. Il reconnut son amie après quelques seconde de dure réflexion matinale.
- Bon matin Sadako... ou bonne nuit... bref bon ce qui te plairas.
- Mgggghhh, erghhgsdmm
- Tu as pas l’air bien Sada... tu es sur que ca va?
- Oui oui, c’est simplement que je n’arrive pas à trouver le réconfort dens les abîmes du merveilleux monde des rêves. Alors ne m’en veut pas si je suis un peu d’humeur bizzare.
En disant cela, elle se pencha pour aider le Iop à ramasser pour la seconde fois son équipement. Une fois cette tâche fastidieuse accomplies, ils se relevèrent et entreprirent de raconter leurs mésaventures, car cela faisait quelques jours qu’ils ne s’étaient pas croisé. Quelques minutes passèrent, suivi de peu par les heures.
Le soleil daignait enfin venir réchauffer la cîme des haut frêne de la région. Sadako se rendit alors compte qu’elle commencait à avoir un léger retard sur son horraire prévue. La disciple de Sram se leva d’un bond, ce qui fit tomber le pain aux 10 céréales que tenait Kayexi à la main.
- Désolé, j’ai du retard. On m’attend. Une quête importante.
- Besoin d’une épée de plus dans vos rang?
- Je ne crois pas que ta lame, aussi affutée soit-elle, puisse être d’une utilité quelquonque, mais merci de l’offre, je m’en souviendrai. On se reverra.
Sur ces mots, elle disparue aussi subitement qu’elle était apparue.
- Au revoir...
Le jeune combattant demeura là, sans expression apparante, à contempler la nature sauvage. Il se rassit dans l’herbe froide et fouilla son équipement à la recherche d’un objet en particulier. Une fois l’amulette entre ses mains, il s’adossa à un arbre.
- Je ne t’oublirai pas non plus ma très chère Sada.
Il replaca soigneusement l’amulette, qui fue confectionnée par le Chef Bwork en personne, parmi ses autres babioles et replongea dans ses pensées houleuses, le regard vide, à la recherche de réponses...
kayexi- Elfe
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